L'avion Bombardier CRJ-200 a été développé et utilisé pour des vols régionaux sur de courtes distances. Les droits de fabrication de cet avion ont été reçus par Bombrdier, qui a racheté les actions de Canadair.
Débarquement et première rencontre avec le salon
Compte tenu du fait que le paquebot est à fuselage étroit, il est capable d'accueillir un petit nombre de passagers. Les sièges peuvent aller de 40 à 52, selon la configuration de la cabine. Les sièges en cuir, disposés 4 places en enfilade, sont séparés par un petit passage. Ils ont une distance assez impressionnante par rapport au siège de devant. C'est un gros plus pour les personnes de grande taille. La décoration intérieure est faite de matériaux hypoallergéniques, totalement sûrs et respectueux de l'environnement.
La compagnie aérienne peut commander une couleur intérieure individuelle. Mais dans tous les cas, chaque détail sera fait avec goût et plaira aux passagers qui ont choisi ce vol particulier pour leur vol. Le siège à l'avant a une petite poche contenant un schéma détaillé de l'avion CRJ-200.
L'avion n'a pas d'emplacement clair des toilettes, cela peut varier selon la configuration de la planche. Si le navireest conçu pour 48 passagers, puis un buffet s'y ajoute sans faute.
L'atterrissage s'effectue sur la rampe d'éjection intégrée à la porte. Il est situé à l'avant de l'avion. En montant, vous pouvez voir le cockpit. Pour plus de sécurité, chaque côté dispose d'une sortie de secours supplémentaire située dans la zone de la section centrale.
Description de l'avion CRJ-200
Ce paquebot est une version modernisée de son prédécesseur, le CRJ-100. La différence entre les modèles n'est pas significative. Seule la centrale électrique qui était installée sur l'avion CRJ-200 a changé.
Cet avion à fuselage étroit est utilisé par les compagnies aériennes locales. L'avion a un corps de petit diamètre, qui a reçu un allongement important. Pour obtenir les meilleures performances en aérodynamisme, le nez est très allongé. Le navire lui-même est conçu selon le schéma d'un avion à aile basse avec une paire de moteurs fixés dans la section de queue.
La peau extérieure est un élément porteur, typique des paquebots semi-monocoques.
La queue à quille unique a reçu une forme en T. Le châssis se compose de trois piliers, les piliers arrière sont les principaux. C'est sur eux qu'il y a deux roues de frein, qui se trouvent dans le chariot pendant le vol.
L'aile en verre de la conception du caisson attire une attention particulière, a une mécanisation ultra-moderne des bords de fuite et d'attaque. L'avion "Bombardier" CRJ-100/200 a toujours été produit avec desbouts d'ailes.
Les principales unités de puissance sont des moteurs CF-34B1. Ils ont été installés uniquement sur les avions CRJ-200, ce qui les distingue favorablement de l'arrière-plan d'un modèle plus ancien doté de moteurs CF-34A1. Leur production est assurée par le géant mondial General Electric. Les moteurs des deux paquebots sont situés sur des pylônes dans la partie arrière de la coque.
Histoire de la création du CRJ-200: un avion pour les courtes distances
Les travaux sur la mise en œuvre de l'idée de créer cette ligne de paquebots ont commencé en 1976. Canadair a pu acquérir les plans pour le développement d'un futur avion de production en achetant tous les droits de LearJet. Le futur Challenger 610E n'a jamais subi de modernisation, en raison de laquelle il était censé augmenter considérablement la longueur du fuselage. Le nouveau bord pouvait accueillir 24 passagers, mais il n'était pas destiné à effectuer son premier vol. Le projet est resté inachevé et tous les travaux de mise en œuvre ont cessé en 1981. Mais l'idée a survécu.
Retour de la légende
En 1987, on a de nouveau parlé de la création d'un avion allongé et, au printemps 1989, la construction des avions de ligne Canadair Regional Jet a commencé. Malgré le fait que tout le travail a été fait par Bombardier, qui a acheté des actions de Canadair, les noms des avions sont restés inchangés.
En 1991, 3 avions expérimentaux CRJ-100 ont été produits. Ils ont réussi à démontrer un résultat incroyable, à atteindre la consommation minimale de carburant d'aviation et l'efficacité maximale de puissantsunités de puissance. Il était possible d'obtenir des certificats à la fin de 1992. Dans le même temps, les livraisons des premiers lots ont commencé. Jusqu'en août 2006, 938 pièces d'équipement ont été créées, dont le CRJ 100/200. Il y avait aussi des contrats pour la création de huit machines ailées. L'un des meilleurs de sa catégorie était l'avion CRJ-200, dont les critiques n'étaient que positives. Non seulement les ingénieurs ont été ravis de l'avion de ligne régional, mais aussi les personnes qui apprécient leur temps et parcourent de courtes distances.
Les technologies utilisées pour créer le CRJ-200 sont progressivement devenues obsolètes et leur production ultérieure est devenue impossible. Pour remplacer les jets construits par la société canadienne Bambardier, nous avons dû travailler sérieusement sur les projets de nouveaux avions de ligne turbocompressés, qui sont devenus les Q400 NextGen.
Spécifications
La longueur du paquebot est de 27,7 mètres et l'envergure d'un peu plus de 21 m. L'équipage est composé de deux pilotes et de deux agents de bord. Le nombre de sièges pour les passagers varie de 40 à 52. La masse maximale au décollage est de 24 000 kg. La vitesse de vol optimale est de 810 km/h.